Conférence du 28 octobre Rejoignez-nous!

La conférence du 28 octobre sera un moment important pour tous ceux qui cherchent une réponse à la politique néolibérale menée par tous les partis traditionnels. Ci-dessous nous publions quelques motivations pour venir à la conférence du 28 octobre.


« L’appel de Sleeckx, Debunne et Van Outrive trouve un écho parmi les syndicalistes. La délégation CGSP à la VUB à Bruxelles a joué un rôle important dans la lutte contre les mesures d’austérité dans l’enseignement supérieur du côté flamand. Les actions contre ces mesures ont forcé le ministre à retirer ses plans.

« Si les partis peuvent continuer à mener leur politique néolibérale, la menace des assainissements va perdurer. C’est pourquoi 15 des 19 délégués CGSP à la VUB soutiennent l’initiative d’Une Autre Politique. Déjà 17 membres de la CGSP sont inscrits pour la conférence du 28 octobre et ce nombre va encore augmenter. »

Jo Coulier, Délégué CGSP à la VUB


« Il y a quelques années, je me suis à nouveau intéressé à la politique et à la résistance sociale aux attaques contre les acquis sociaux. J’ai très vite découvert qu’aucun grand parti ne défendait les intérêts des travailleurs et des pauvres.

« J’ai alors rencontré quelques délégués qui étaient temporairement unis sous le nom ‘Debout’. On a beaucoup discuté de la nécessité d’une réelle opposition à la politique néolibérale. De cette façon je suis devenu actif dans la campagne contre la constitution européenne. Il y a un an, j’ai lancé avec quelques camarades l’initiative d’un syndicat du quart-monde.

« Toutes les organisations officielles des pauvres se laissent faire par les politiciens traditionnels. Des pauvres qui survivent avec peu d’argent n’ont en réalité aucun parti qui défende leurs intérêts. J’ai vite été gagné à l’idée d’une autre politique. Le 28 octobre nous pourrons animer le débat concernant des solutions structurelles pour la pauvreté. »

Stefan Roumen, Syndicat du Quart-Monde, Limbourg


« Récemment Johan Vande Lanotte du SP.a a proposé de limiter les allocations de chômage pour les jeunes. Après 6 mois, ils devraient choisir entre un boulot flexible ou une formation. Avant même d”être au chômage, les jeunes sont confrontés à la dure réalité de ce système. L’enseignement est gratuit jusqu’à 18 ans, mais en réalité les coûts sont de plus en plus élevés. La prime scolaire ne va pas changer cela d’une manière fondamentale, c’était plutôt un petit cadeau dans le cadre des élections.

« Beaucoup de jeunes détestent la politique. Il est important que les jeunes aient connaissance du 28 octobre et qu’il y ait ensuite construction d’une alternative crédible contre la logique néolibérale. On ne peut pas laisser la politique aux politiciens ! »

Benoit Douchy, Etudiants de Gauche Actifs, Gand

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