Ces dernières années, le 1er mai est devenu de plus en plus un jour de fête au lieu d’une journée de lutte. Dans de nombreuses villes, l’évènement s’est rétrécit. L’actualité montre cependant qu’il est plus que jamais nécessaire d’en refaire une journée de lutte. Le symbole autour duquel a débuté le 1er mai en tant que Journée internationale de lutte, la journée des 8 heures, est attaqué. Si nous laissons ce gouvernement en place jusqu’à son terme, en fin de course, nous ne connaitrons plus de journée de huit heures. C’est l’une des raisons pour lesquelles il faut récupérer cette journée de combat du 1er mai. Les mouvements qui résistent aux attaques contre les lois travail en France et ailleurs expriment le fait que le caractère international de cette journée de lutte peut retrouver son importance.
Le PSL était évidemment à présent à de nombreuses activités dans le cadre du 1er mai. Nos militants ont vendu 561 exemplaires de notre journal (en 2015, il s’agissait de 615 et 2014, de 486). Liège a été à nouveau en tête des ventes, avec les 130 exemplaires disponibles qui ont été vendus, et Clément au top des ventes avec 50 journaux. A Bruxelles, 128 exemplaires ont été vendus, 85 à Gand, 56 à Alost, 54 au Brabant flamand, 48 à Anvers et 25 à Charleroi ainsi que dans le Limbourg. 26 nouveaux abonnements à notre journal ont été fait. A côté de cela, plus de 1000 euros de fonds de lutte ont été récolté. Il y avait notamment une forte demande pour nos badges pour la semaine de 30 heures, contre la hausse de l’âge de la retraite et contre la terreur et la haine.
Voici une série de photos des différents endroits où nous étions actifs ce 1er mai.
Anvers (photos: Liesbeth)
Bruges (photo: Pol)
Tongres:
Gand (photo: Jean-Marie)
Charleroi:
Bruxelles (photos: PPICS):
