Alost: premiers sur la ligne d’arrivée!

A Alost, nous avons entamé la campagne pour la récolte des signatures le 15 février. Tous les militants du noyau du CAP y ont collaboré. Beaucoup de délégués syndicaux (et même des permanents), d’ouvriers, d’employés, d’étudiants et de femmes au foyer ont signé pour la liste. Cela démontre que le mouvement est peu à peu reconnu et soutenu par de plus en plus de gens.

Jan Van Olmen

Lors du marché hebdomadaire, nous sommes allés dans les cafés du Grand Marché pour collecter des signatures. Un travail intense mais, grâce à l’ambiance dans les cafés d’Alost, une activité très amusante avec beaucoup d’espace pour la discussion!

Jeudi 15 mars, nous avons déjà atteint notre objectif local de 300 signatures. C’est un bon résultat mais nous continuons la récolte, de pair avec d’autres activités de propagande et la préparation de notre soirée du 1er Mai.


Récolter des signatures au travail, c’est possible!

Un membre malinois du MAS/LSP a récolté 65 signatures parmi ses collègues. Il nous a écrit: « Je passe pas mal de temps à discuter pour récolter des signatures sur mon lieu de travail. J’en ai 65 à ce jour. Jusque-là, rien de spectaculaire. Mais deux collègues ont décidé de recueillir eux aussi des signatures autour d’eux. Et j’espère en convaincre d’autres de faire de même. “

Lorsque ce témoignage a été publié sur le site du CAP, il a suscité très vite une réaction d’un membre du CAP de la Flandre Occidentale, DJ Marino, qui a écrit: « Il y a trois semaines, j’ai commencé à aller récolter des signatures dans ma famille, chez mes amis et surtout au travail. Presque tout le monde est enthousiasmé par le contenu du CAP car les gens ne sont plus contents du tout de la politique traditionnelle. C’est pour cela que les gens sont intéressés par ce que j’ai à raconter sur le CAP. Sur mon lieu de travail, je les interpelle en petits groupes et, de cette manière, le CAP est déjà très connu après ces trois premières semaines dans mon entreprise qui compte 120 salariés. Certains étaient très impatients et venaient me demander eux-mêmes pourquoi je ne leur avais par encore demandé de signer. A cette heure-ci, j’en ai récolté 146 tant pour la Chambre que pour le Sénat! (…) Le CAP devrait avoir dans chaque entreprise quelqu’un qui fasse ainsi. C’est comme cela que le CAP peut mener sa campagne. ».

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